Union des Elus Socialistes et Républicains des Hauts-de-Seine

Belle université de rentrée du PS 92

Hier s'est tenue à Suresnes l'université de rentrée du PS 92 en présence du 1er secrétaire du PS 92 Xavier Iacovelli, de la présidente de l'UDESR 92 Fatoumata Sow et
avec la participation de nombreux militants du 92, de nombreux élus du 92 et de la région, et de la ministre des Outre-Mer Ericka Bareigts.

De nombreux thèmes furent abordés : la santé avec Myriam Petit, la sécurité avec Sébastien Piétrasanta, député des Hauts de Seine, ou encore l'égalité réelle avec Ericka Bareigts, Nadège Azzaz, conseillère régionale et Naouel Brahmi, responsable MJS92.

Photos (PS92): Suresnes le 24/09/2016 - 1. Ericka Bareigts entre Nadège Azzaz et Fatoumata Sow - 2. Au centre, Naouel Brahmi, Nadège Azzaz, Xavier Iacovelli, Roberto Romero et Fatoumata Sow

"La gauche, c'est combattre les injustices en permettant à chacun de vivre une vie digne." Naouel Brahmi

Ecoutez le discours de Xavier Iacovelli sur le site du PS92

La loi Travail donne de nouveaux droits aux salariés (Philippe Kaltenbach)

La loi Travail : une loi de progrès qui renforce le dialogue social et donne aujourd’hui de nouveaux droits aux salariés.

Le 21 juillet, le Parlement a définitivement adopté la loi Travail et, début août, le Conseil Constitutionnel l'a validé dans toutes ses principales dispositions. Il s'agit d'un texte de progrès qui renforce le dialogue social en entreprise et donne de nouveaux droits aux salariés (contrairement au texte de la droite votée au Sénat, lisez mon article sur le sujet ici en lien).

En premier lieu, le texte de loi élargit le champ des négociations des accords d’entreprise. Il s'agit là d'une avancée essentielle car plus il y a négocier plus cela vaut la peine pour les salariés de s’impliquer dans le dialogue au sein de l’entreprise et de se syndiquer. C’est pour cela que, par exemple, en matière d’organisation du temps de travail, les acteurs de terrain pourront participer au choix de l’entreprise et influer sur le cours des choses. De plus, ces accords ne pourront qu’être signés par des organisations syndicales représentant au moins la majorité des salariés (dès 2016 pour la durée du travail, et à partir du 1^e septembre 2019 pour les autres thèmes). Alors qu’auparavant il suffisait que 30% des salariés l’approuvent et que les syndicats majoritaires ne s’y opposent pas pour qu’un accord soit appliqué. (...)

Lire la suite sur le blog de Philippe Kaltenbach, sénateur des Hauts de Seine

1936 en débats à Clichy

Samedi dernier, les socialistes de Hauts-de-Seine et la fondation Jean Jaurès ont organisé à Clichy une table ronde intitulée "Le Front Populaire de 1936 à aujourd’hui ?". En présence de Benoit Kermoal, historien, François Lafon, de la fédération PS de l’Ariège et André Gattolin, sénateur EELV des Hauts-de-Seine.

Avec l’exposition itinérante, « 1936, nouvelles images, nouveaux regards sur le Front populaire ».

Richement illustrée de plus de 50 images et présentée en 15 panneaux, elle offre un aperçu synthétique de l’exposition présentée au musée de l’Histoire vivante à Montreuil.
Il s’agit de redonner à lire les fils d’une histoire, celle de l’année 1936, du Front populaire, de l’unité d’action des gauches pour « le pain, la paix et la liberté » contre le fascisme et la guerre.
Les auteurs et commissaires de cette exposition ont souhaité rappeler au public l’importance de cette histoire, inscrite dans la mémoire collective, que l’on résume en quelques mots : congés payés, 40 heures, grèves avec occupations d’usines, accords de Matignon, auberge de la jeunesse, Espagne. 
Exposition d’histoire, le récit présenté ici est dégagé des mythes et des légendes, et rappelle les réussites d’un gouvernement de Front populaire mais aussi ses échecs et ses faiblesses à mettre au compte également de toutes les gauches, sur la question du droit des femmes, sur le stalinisme, et sur la question coloniale.
Le parti pris affiché dans cette exposition est celui de célébrer les 80 ans du Front populaire et de susciter la discussion et le débat y compris militant. (...)

Pour que vive la petite bibliothèque ronde de Clamart

La municipalité de Clamart demande que l’association La Petite Bibliothèque Ronde déménage rapidement dans un local éloigné du cœur de son action, éloigné des enfants de la Cité de La Plaine (...) 

Depuis plus de 50 ans, des professionnels du livre et de la lecture viennent du monde entier s’informer et se former à la Petite Bibliothèque Ronde.

Elle inspire de nombreuses initiatives, elle est une référence incontestable à l’étranger (en Amérique Latine, dans les pays du Maghreb, en Italie, etc.) comme en France. La beauté et l'originalité de son architecture et de son mobilier, signés par l'Atelier de Montrouge sous la direction de Gérard Thurnauer, ont permis son classement au Patrimoine des Monuments Historiques depuis 2009. 

Déjà menacée en 2006, c’est grâce à la mobilisation de tous qu’elle est restée ouverte et a continué son activité unique au cœur de la Cité de la Plaine.

Les amis et les usagers ont à présent jugé nécessaire de créer un collectif aux côtés de la Petite Bibliothèque Ronde pour veiller à sa pérennité dans les conditions fixées à son origine. (...)

Voir la pétition

De l'instrumentalisation de la justice à Asnières (Féliciano Gomez)

LES CHRONIQUE ASNIEROISES - N° 1 : #Asnières, l'univers impitoyable des procédures judiciaires par Féliciano Gomez, ex adjoint au maire d'Asnières

(...) Qu’il y a beaucoup d’indigence en ces actes-là ! Ces procédures à répétition, cette instrumentalisation de la justice à des fins de vengeance politique, ne peuvent être que le signe d’une démocratie locale, au mieux, malade, au pire en grand danger de perversion. On a le droit de mépriser de tels comportements. Mais on a le devoir plus urgent et plus impérieux de donner droit à la grandeur dans cette ville. Et n’en déplaise à sa modestie, je suis admiratif devant la dignité et la discrétion de Sébastien Piétrasanta, notre ancien maire et député, qui doit faire face à pas moins d’une dizaine de procédures et cela dans le silence, sans se plaindre, sans prendre les Asniérois à témoin d’une souffrance qu’il porte seul avec sa famille et ses amis, pour avoir eu l'outrecuidance de vouloir servir ses concitoyens en lieu et place de celui qui aujourd'hui le persécute.

Il y a de la grandeur en cet homme-là. Et chaque nouvelle procédure, quoique douloureuse et insupportable, y ajoute quelques centimètres en hauteur.

Calendrier des formations des élu-e-s

Les vacances sont déjà loin ... La rentrée est bien engagée ... Les élus peuvent penser à se former... 

Voir le calendrier des formations organisées le dernier trimestre 2016 par le centre Condorcet sur le site de La maison des élus

Désintox suite à l'interview de V. Pécresse dans le Parisien

Transports, Lycées, Solidarités...

Le jeudi 8 septembre, Le Parisien a publié une interview de V. Pécresse, président du conseil régional d'IDF.

Voici la réponse des élu-e-s du groupe socialiste et républicain à propos des rames neuves, de la hausse du Pass Navigo,  des 100 millions d'euros en moins pour le rénovation et l'entretien des lycées...

Suivre le travail du groupe sur Facebook

Suite au rapport de l'Ancols, l'OPH de Puteaux écope d'un million d'euros d'amende

Dès le mois de mai, l'opposition locale avait publié des extraits du rapport de l'Ancols faisant état de la mauvaise gestion de l'OPH de Puteaux. Ce rapport a été suivi d'effets.

La mauvaise gestion dont font montre certains organismes HLM est régulièrement épinglée par les rapports de la Cour des comptes, mais il est rare que la sanction soit autre que symbolique. 

Jean-Michel Baylet, ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales, 
Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, 
et Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l'Habitat durable, 
viennent donc de prendre une décision exceptionnelle, qui a d'ailleurs été annoncée mardi par un communiqué conjoint : ils ont suivi la proposition du contrôleur du monde HLM, l'Ancols, et ont décidé d'infliger une amende record, de 1 million d'euros, à l'Office Public de l'Habitat de la commune de Puteaux (Hauts-de-Seine), proche du quartier d'affaires de la Défense. (...)

Lire l'article sur Les échos (02/08/2016) - Voir aussi l'article du Parisien et l'article du Monde - (photo CG)

Dès le mois de mai, l'opposition locale avait publié des extraits du rapport de l'Ancols faisant état de la mauvaise gestion de l'OPH de Puteaux. Ce rapport a été suivi d'effets.

La mauvaise gestion dont font montre certains organismes HLM est régulièrement épinglée par les rapports de la Cour des comptes, mais il est rare que la sanction soit autre que symbolique. 

Jean-Michel Baylet, ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales, 
Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, 
et Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l'Habitat durable, 
viennent donc de prendre une décision exceptionnelle, qui a d'ailleurs été annoncée mardi par un communiqué conjoint : ils ont suivi la proposition du contrôleur du monde HLM, l'Ancols, et ont décidé d'infliger une amende record, de 1 million d'euros, à l'Office Public de l'Habitat de la commune de Puteaux (Hauts-de-Seine), proche du quartier d'affaires de la Défense. (...)

Lire l'article sur Les échos (02/08/2016) - Voir aussi l'article du Parisien et l'article du Monde - (photo CG)

Université de rentrée de la fédération PS 92

Naouel Brahmi, animatrice fédérale MJS 92
Xavier Iacovelli, 1er secrétaire fédéral
et Fatoumata Sow, présidente de la maison des élus 92

vous invitent à une université de rentrée le samedi 24 septembre 2016 à Suresnes

Voir le site du PS 92

Appel à refaire la démocratie (C. Bartolone, M. Winock)

Nouvelles institutions : le bon endroit, le bon moment Par Claude BARTOLONE, (président de l’Assemblée nationale) et Michel WINOCK, (historien)

Un mois avant un colloque organisé à l’Assemblée nationale auquel «Libération» s'est associé, nous publions un appel à «refaire la démocratie» de Claude Bartolone et Michel Winock, qui ont présidé en 2015 un groupe de travail sur l’avenir des institutions.

(...) Alors que l’Europe vacille, que la société française n’a jamais été autant en proie aux doutes, aux fractures et aux angoisses identitaires, notre démocratie mérite plus que jamais un débat. Car elle est la condition première de tout projet collectif. Il ne s’agit nullement ici d’imputer à la Ve République tous les maux dont nous souffrons, mais de tenter de trouver ensemble, face aux nouvelles conditions de vie, comment nous pouvons resserrer la chaîne républicaine et reconstruire un collectif. Or comme le notait le philosophe Michaël Foessel : «l’un des moyens fondamentaux pour que les citoyens s’intéressent à nouveau à un jeu auquel ils ne croient plus, c’est de leur donner la possibilité d’en récrire au moins partiellement les règles». (...)

Lire l'appel