Le mot de la Présidente
"L’Union Départementale des Elus Socialistes et Républicains du 92 est une association qui regroupe tous les élu(e)s du département des Hauts-de-Seine.
Nous avons constitué une équipe pluraliste avec des élu(e)s de toutes les sensibilités du Parti socialiste et également des élus radicaux de gauche te des élus indépendants. Notre rassemblement a pour vocation d’être le porte-parole des conseillers régionaux, généraux, maires ou conseillers municipaux, afin de constituer un relais entre les territoires, le Parti Socialiste et les responsables nationaux.
Depuis sa création, l’UDESR92 a souhaité informer au mieux les élus du département et répondre à leurs besoins. A l’approche de plusieurs échéances électorales de grande importance au niveau local, nous serons présents pour accompagner les élus socialistes et républicains, en regroupant un ensemble d’informations, d’actualités et d’évènements, susceptibles de vous intéresser."
Fatoumata SOW
Présidente de l’UDESR92
Jean-Paul Huchon, président de la région Ile-de-France s'est rendu ce matin dans les Hauts-de-Seine avec les camarades des cantons de Colombes, Nanterre-Suresnes et Malakoff-Montrouge.
"Nous avons été à la rencontre des habitants pour échanger, écouter, débattre et confronter nos points de vue dans le cadre des élections départementales... La gauche a de l'avenir dans ce département !"
Photo : Marché de Malakoff
Aurélie Filipetti, député de Moselle et ancienne Ministre de la Culture, est venue hier à Nanterre à l'invitation des candidats aux départementales sur le Canton de Nanterre-Suresnes, Habiba Bigdade et Antoine Seguin.
Elle s'est rendue au Théâtre par le bas (quartier Picasso - Tours Nuages, à Nanterre) et a tenu un discours pour contribuer à rassembler la gauche et les progressistes démocrates, en présence d'élus et d'anciens élus ou cadres fédéraux (dont Patrice Marchal, président du groupe des élus de Nanterre, Jean-Luc Richard, ancien élu de Boulogne-Billancourt, Thérèse Ngimbous-Batjöm, adjointe-au-maire,...).
Cette visite d'Aurélie Filipetti au Théâtre par le bas a aussi été l'occasion de saluer l'action de son fondateur et directeur Jean-Luc Borg qui a créé dans ce quartier un théâtre ancré dans la ville, ouvert vers les habitants, sur fond d'idées de progrès et de justice.
CR et photos de Jean-Luc Richard
Les dimanches 22 et 29 mars prochains, nos concitoyens seront appelés à élire les conseillers départementaux, un binôme homme-femme, et leurs remplaçants pour une durée de 6 ans.
Je tiens tout d’abord à saluer le travail de nos 7 élus, qui ont défendu nos valeurs au Conseil général dans l'opposition.
A 15 jours du premier tour, nous devons continuer de mener une campagne active et être présents sur le terrain pour aller à la rencontre des électeurs et leur montrer que voter pour les candidats socialistes, c’est voter pour la mise en œuvre et la poursuite de politiques publiques de gauche dans notre département.
Notre principal adversaire dans cette élection est l’abstention et toutes les actions sont bonnes pour convaincre nos concitoyens d’aller voter : marchés, porte à porte, distributions de documents, réunions d’information.
Il est important de leur rappeler l’importance du vote républicain, après ce douloureux mois de janvier et à l’heure où tout le monde pense connaître par avance le résultat de l’élection.
Sur cette dernière ligne droite, notre conviction et notre mobilisation seront déterminantes. J'apporte tout mon soutien aux candidats, qui représentent notre territoire, en connaissent les réalités quotidiennes et allient proximité, expérience et jeunesse.
Bonne fin de campagne à tous !
Lundi 16 mars : Meeting départemental à Boulogne-Billancourt, Ecole Fessart, 26/28 rue Fessart, à 19h00 avec Stéphane Le Foll, Porte parole du gouvernement, Ministre de l'agriculture.
Mercredi 18 mars : Réunion publique à Antony, espace Vasarely, Place des anciens combattants à 20h30 avec Jean Marie Le Guen, Secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement.
Vendredi 20 mars : Réunion publique à Bagneux, salle Gabriel Péri, 13 rue Gabriel Péri, à 20h00 avec Myriam El Khomri, Secrétaire d'Etat chargée de la politique de la ville.
Pour un 92 solidaire
Réunion publique avec Jean-Marc Germain
député des Hauts-de-Seine
le vendredi 20 mars à 20h
Ecole du Colombier 14 cours Saint-Vincent 92130 Issy-les-Moulineaux
Le 11 mars, Anne Hidalgo, Maire de Paris et Antoinette Guhl, Adjointe en charge de l'ESS, de l'économie circulaire et de l'innovation sociale lançaient les États Généraux de l'économie circulaire à l'Hôtel de Ville de Paris. (...)
Après avoir rappelé l'urgence environnementale et les enjeux de la COP21 - Paris Climat 2015, l'économie circulaire a été présentée comme l'économie du partage, avec une forte dimension éthique, une préoccupation environnementale et de la dignité humaine.
Porteuse de solutions innovantes et engageantes pour la transition écologique, l'économie circulaire (à travers l'écoconception, le recyclage, le réemploi, en passant par l'économie du partage) doit permettre d'accélérer les mutations, d'entrer dans un monde nouveau et réenchanter le futur.
Pour cela, elle devra s'appuyer et surtout faire confiance au collectif, car les solutions sont multiples et décloisonnées, mais aussi nous mener vers une société du partage, vers des villes productives et créatrices de valeurs (emploi, énergie, agriculture...).
Lire la suite sur http://www.atelier-idf.org/ressources/breves/2015-03-11,etats-generaux-economie-circulaire-paris.htm
Notre département, le plus riche de France, se détourne depuis trop longtemps de ses missions.
Malgré un budget de 2 milliards d’euros, le bilan de N. Sarkozy et P. Devedjian, présidents successifs UMP du département, est celui de l’abandon de vos priorités :
fin des crèches départementales, diminution des actions éducatives, négligence de votre sécurité sur les voies départementales, oubli de nos aînés.
Le Département, loin de réduire les inégalités, les aggrave. En effet, la hausse des dépenses d’action sociale est purement mécanique et ne traduit que l’augmentation des Allocations Individuelles de Solidarités (AIS). Pire, si l’on regarde ce qui relève de la seule initiative départementale, le résultat est accablant. En 2011, 45 M€ était consacré à la prévention médico-sociale (sur un budget de 2Mds €). Pour cette année, seulement 40 M€, soit -12% sur une enveloppe déjà particulièrement faible.
L’Education est également victime de la politique de la majorité départementale : alors que le budget de l’année 2010 prévoyait 121 M€ d’investissement, en 2015 69.7 M€ seulement seront consacrés aux collèges, soit une diminution de 40% des crédits. Idem pour l’aide aux élèves en difficultés, divisé par deux.
Voir la Contribution de Guy Janvierà paraître dans le HDS-mag n°40 de mars-avril 2015
Ce soir, à 20h30, la section du Parti socialiste de Rueil-Malmaison vous invite à sa réunion avec Alexis Bachelay , député PS des Hauts de Seine et acteur principal de la réforme du "Grand Paris".
Il interviendra sur le thème d'actualité : La réforme territoriale, où en est le "Grand Paris"?
Mairie de quartier, place du 8 mai 1945
(...) Dans ces temps difficiles, la démagogie n’est pas de mise. Un gouvernant ne peut et ne doit se désintéresser de la question religieuse, ce serait une erreur qui pourrait devenir une faute. Si les deux interventions de Bernard Cazeneuve (le 25 février) sont de qualité, elles appellent néanmoins quelques commentaires.
Tout d’abord le rappel salutaire par le ministre que « nous sommes un peuple, un seul et unique peuple, quelles que soient nos origines, quelles que soient nos convictions ou nos croyances. Nous sommes tous Français. La République ne fait pas de distinctions parmi ses enfants : généreuse et bienveillante, elle les accueille tous en son sein. Et en République, il n’y a qu’une seule communauté : la communauté nationale que nous formons tous ensemble. »
Ce rappel, pour évident qu’il paraît à nos yeux, n’en vient pas moins heurter l’idéologie en vogue des différentialistes et communautaristes de tous poils qui ne cessent de vouloir séparer les Français et qui mettent à mal les fondamentaux de la nation républicaine. Il convient de rappeler que la voix en fut tracée par toutes celles et ceux qui se sont fait les chantres du « droit à la différence » plutôt que d’assumer la promesse républicaine et le combat de l’égalité politique et sociale.
Du droit à la différence jusqu’à la différence des droits, il n’y a même pas l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette. Résultat, aujourd’hui, nombreux sont ceux, qui au nom de leur « communauté », revendiquent des droits spécifiques.
Pervenche Bérès a initié, au Parlement européen, un intergroupe sur les industries culturelles et créatives. Le lancement des travaux a eu lieu le 3 mars, à Bruxelles, lors d’un déjeuner-débat au cours duquel sont intervenues les ministres française et allemande de la Culture, Fleur Pellerin et Monika Grütters.
A cette occasion, le GESAC (Groupement européen des sociétés d’auteurs et de compositeurs), représentant 34 sociétés d’auteurs dans toute l’Europe et plus d’un million de créateurs ou d’ayants droit, a présenté une étude sur la plus-value du secteur de la création.
Un débat très constructif s’est ouvert entre les ministres et les nombreux députés présents sur les sujets d’actualité dont le droit d’auteur.
Lire le communiqué de la SACEM et celui du GESAC (03/03/2015)
Pervenche Berès, députée européenne, Présidente de la Délégation socialiste française au Parlement européen et Co-présidente de l’Intergroupe Industries Culturelles et Créatives a déclaré:« Il faut construire une véritable stratégie européenne pour la Culture à l’ère du numérique, qui se reflèterait dans toutes les politiques de l’UE, y compris la politique fiscale qu’il reste à inventer ». (...)
Avec 535,9 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 7,1 millions d’emplois, les industries culturelles et créatives concentrent un véritable potentiel d’avenir. Malgré la conjoncture économique, elles ont maintenu leur croissance entre 2008 et 2012 avec une création d’emplois de +0,7% là où le nombre d’emplois dans l’économie générale reculait de 0,7%.
Elles sont la garantie de la diversité culturelle, mais aussi du rayonnement et de la vitalité économique de l’Union européenne. (...)